Auteur : Maurice MAC NAB dans « Poèmes incongrus »
Editée chez BLOT en 1887.
Jouée au CHAT NOIR
Chantée par Henry DREYFUS dit FURZY
Extrait du livret de chansons de Jean Baptiste BLANCHARD :
Ecoute de la chanson sur :
http://www.musicme.com/Henri-Fursy/titres/Un-Bal-A-L’hotel-De-Ville-t580268.html
La chanson originale de MAC NAB comportait deux autres couplets (les 4ème et 5ème) qui n’apparaissent pas dans le livret de J.B. BLANCHARD :
« Quand j’ai vu ça j’m’en suis flanqué
Par dessus les oreilles ;
J’avais jamais tant tortillé
Ni tant sifflé d’bouteilles.
Comme on peut pas tout
Manger d’un seul coup,
J’en ai mis plein mes poches.
Quand on a bon cœur,
On pense à sa sœur
A sa femme, à ses mioches ! »
« Après ça j’arrive en m’promenant
Dans l’fumoir où qu’l’on fume.
Je m’asseois et j’tire tranquill’ment
Mon brûl’ gueul’ que j’allume.
Mais v’là qu’un larbin
Pour fair’ le malin
M’tend un’ boîte de cigares.
J’la met sous mon bras
Des Panatellas !
Quel coup pour la fanfare ! »